Dans un message publié dans le groupe Whatsapp de Nyabibwe en territoire de Kalehe et qui est à la base d’une discorde entre jeunes militants de partis politiques, il se remarque que l’appartenance à un parti politique ou encore le soutien d’un candidat dans le territoire de Kalehe est la source de tensions. Ces tensions opposent actuellement les jeunes militants de différents partis politiques qui s’échangent des propos à caractère injurieux dans les réseaux sociaux.
A cela s’ajoute la déshumanisation des leaders de partis politiques. Le cas le plus récent est celui survenu le 2 aout 2023 après le passage du deuxième vice-président de l’Assemblée Nationale ; Vital Muhini au centre de Nyabibwe. Un membre actif d’un autre parti politique a dit dans un groupe Whatsapp de Nyabibwe que messieurs Vital Muhini et Modeste Bahati Lukwebo, sont des statues au sein de l’Assemblée Nationale et le Sénat car ils ne disent rien en faveur du territoire de Kalehe au sein de ces deux grandes instituttions du pays
Ces propos sont dangereux pour la cohabitation pacifique car ils choquent et visent à diviser les partisants et membres des différents partis politiques. L’auteur du message traite ces hommes politiques de statues dans l’organe délibérant. Il s’agit là d’une déshumanisation des leaders politiques, ce qui peut susciter la colère de leurs partisans, avec un risque de confrontation.
La division entre jeunes des partis politiques à Kalehe peut créer des graves divisions
Les jeunes des partis politiques de Kalehe doivent cesser avec les messages divisionnistes qui attirent des guéguerres inutiles entre communautés de kalehe. Nombreux des conflits qui sévissent dans les milieux ruraux sont l’œuvre de l’incompréhension liée à l’intolérance des uns envers les autres parfois dans les réseaux sociaux.
Il est donc important d’adopter un comportement positif qui appelle les jeunes de Kalehe à privilégier un climat d’attente, de paix et de cohabitation pacifique en évitant des propos injurieux et déshumanisant pour barrer la route à l’émergence de la violence.
Les services de sécurité doivent interpeller les acteurs qui politiques se distinguent dans des discours de haine ou qui appellent à la division afin de prévenir les violences électorales.
A lire : Halt aux discours de haine, oui à la cohabitation pacifique entre peuples des pays des Grands Lacs
Un message simple message publié dans le groupe Whatsapp vous crée de différend. Les jeunes militants de partis politiques n’ont rien à faire que de se bagarer.
Il semble que l’appartenance à un parti politique ou le soutien à un candidat à Kalehe soit la source de tensions. Nani ali baloga bandugu, partis hazi tusaidiye ku kitu, mutafute maisha.
Les réseaux sociaux sont le lieu où les jeunes militants de différents partis politiques de chez nous s’échangent des propos à caractère injurieux, créant ainsi un discours de la haine. Nous allons tous supprimer.
C’est vrai, la situation à Kalehe est préoccupante. Les violences verbales en ligne sont devenues monnaie courante, alimentant les divisions et les conflits entre les jeunes militants politiques.
C’est regrettable de constater que les réseaux sociaux, qui devraient être un espace de dialogue et de partage d’idées, sont devenus un terrain fertile pour la propagation de la haine et de l’intolérance.
Il est essentiel de mettre un terme à ces violences. Les discours de la haine ne font que renforcer les tensions et compromettre la stabilité de notre société.
Il est impératif aussi que les jeunes militants politiques prennent conscience de l’impact de leurs paroles et de leurs actions sur la cohésion sociale.
Les autorités locales et nationales doivent également jouer un rôle actif dans la résolution de ce conflit. Des mesures doivent être prises pour sensibiliser les jeunes et les inciter à adopter un comportement respectueux et constructif dans leurs échanges politiques.
Des campagnes de sensibilisation sur les dangers des discours haineux et sur l’importance du dialogue pacifique doivent être intensiifiées. Bravo à Juardc
C’est nécessaire de renforcer les lois et les réglementations relatives à l’utilisation des réseaux sociaux. Les auteurs de discours haineux doivent être tenus responsables de leurs actes et punis en conséquence.
Les plateformes de médias sociaux doivent également prendre leurs responsabilités en modérant et en supprimant les contenus offensants et haineux. Mais malheureusement chez nous, aucune réglementation d’utilisation de l’Internet.
Il est primordial de promouvoir la tolérance et le respect mutuel au sein de la société. Les différences politiques ne doivent pas être une excuse pour semer la discorde et la violence au Congo.
Nous devons apprendre à accepter les opinions divergentes et à dialoguer de manière constructive pour trouver des solutions aux problèmes qui nous préoccupent.
les tensions entre les jeunes militants politiques à Kalehe sont alimentées par des discours de la haine propagés dans les réseaux sociaux. comment mettre fin à ça? l’éducation civique et morale reste la seule solution.
Bien dit. Il est urgent de mettre un terme à ces violences et de promouvoir le dialogue pacifique et le respect mutuel.
Les autorités, les jeunes militants et la société dans son ensemble doivent travailler ensemble pour construire un avenir meilleur, basé sur la tolérance et la compréhension.
Halt aux violences, Kalehe doit retrouver la sérénité et la cohésion qui lui sont nécessaires pour avancer.
L’appartenance à un parti politique ou le soutien à un candidat à Kalehe est la source de tensions. Les échanges injurieux entre les jeunes militants de différents partis politiques sur les réseaux sociaux sont préoccupants.
Nous devons mettre un terme à ces discours de la haine et promouvoir le respect mutuel entre les différentes opinions politiques.
Les violences doivent stopper et la paix doit être préservée dans la région de Kalehe.
Je pense que les jeunes militants doivent comprendre l’importance du dialogue et de la tolérance pour construire un avenir politique sain et pacifique.
La résolution de ce différend passe par la promotion de valeurs telles que le respect, la compréhension et la coopération entre les différents partis politiques. A mon avis!
Les tensions politiques sont actuellement à leur paroxysme dans notre région de Kalehe, où de jeunes militants de différents partis politiques s’affrontent violemment sur les réseaux sociaux. Je me demande comment sera la période de la campagne.
Tout a commencé avec un message publié dans le groupe Whatsapp de Nyabibwe, qui a rapidement dégénéré en discorde entre les jeunes. Il est frappant de constater que l’appartenance à un parti politique ou le simple soutien à un candidat dans le territoire de Kalehe est la principale source de ces tensions. Dommage pour la jeunesse, quel avenir les amis?
Les échanges sur les réseaux sociaux sont devenus de plus en plus abusifs, les insultes fusent et les attaques personnelles se multiplient du jour au lendemain. Pour quel intérêt chers jeunes?
Et c’est cette intolérance politique qui divise la jeunesse et empêche tout dialogue constructif. Les jeunes réveillez-vous!
Il est temps que les jeunes militants se rendent compte que la diversité des opinions est une richesse et qu’il est possible de débattre sans se manquer de respect. Il est urgent de mettre fin à cette spirale de haine et de trouver des solutions pacifiques pour résoudre les différends politiques.